CE QU’EN DIT ALEXANDRE PETRUCCIANI

« Laurent Coulondre est passionné par la musique de Michel Petrucciani depuis l’enfance ; cette passion, il l’exprime dans cet album en rendant un bel hommage à ce virtuose qui nous a quitté il y a 20 ans cette année. Laurent et mon père Michel, partagent une joie de vivre et une énergie créatrice qui s’expriment avec vivacité dans leur musique. Interpréter Michel Petrucciani, c’est avant tout peindre des émotions sincères, des couleurs vives et j’ai rarement entendu un pianiste capter l’essence de sa musique avec tant de justesse. Laurent est de cette nouvelle génération d’artistes qui, tout en respectant l’héritage des maîtres, expriment pleinement leur propre personnalité avec brio. Bonne écoute. »

« Laurent Coulondre has been fascinated by the music of Michel Petrucciani since he was a child and he conveys his passion with heart and soul through this album that pays a beautiful tribute to the virtuoso who left us 20 years ago. Laurent and my father share a joy of living and creative energy that they both voice so brightly in their music. Interpreting Michel Petrucciani’s music is, first and foremost, like painting sincere emotions, bright colors and I have rarely heard a pianist capturing the essence of his music with such accuracy. Laurent is from this new generation of artists who, while respecting the legacy of masters, fully express their own personalities with brio. Good listening. »
(translation by Yann Lapivotte)

Laurent Coulondre, la nouvelle sensation du piano hexagonal, rend hommage à l’un des musiciens qui a le plus marqué son parcours de musicien et de jazzman : Michel Petrucciani.
Pour être à la hauteur du 20ème anniversaire de la disparition de ce géant et de cette sublime harmonie intergénérationnelle voguant entre modernité et tradition que Michel Petrucciani promouvait, Laurent Coulondre s’entoure de Jérémy Bruyère (basse et contrebasse) et d’André Ceccarelli (batterie) pour faire revivre le répertoire du pianiste aux os de verre, et nous montre – s’il en était besoin – que le jazz est un langage qu’il maîtrise de mains (gauche incluse) de maître.